Les sources de la démarche de la co-naissance de soi

A notre naissance, nous arrivons :

=> Dans un monde déjà-là qui structurera les rapports qui régiront les relations humaines qui nous construirons.

=> Nous arrivons aussi au sein d’une famille qui elle-même régira le rapport qui sera entretenu entre les divers membres de la famille et qui servira de scénario originel à nos futures relations.
Cette réalité, déjà-là, définira pour grande partie la personne que nous serons appeler à « devoir être« .

La philosophie existentialiste nous propose une autre thèse qui dit en bref que l’être humain n’est jamais vraiment « quelque chose » de fini, mais qu’il se construit au fur et à mesure de ses actes. Cela veut dire que chaque acte que nous posons en conscience nous met au monde autrement que par habitude, automatisme ou autre réflexe. Se co-naître, c’est naître à soi, avec soi, pour soi.

A notre naissance, nous arrivons :

=> Dans un monde déjà-là qui structurera les rapports qui régiront les relations humaines qui nous construirons.

=> Nous arrivons aussi au sein d’une famille qui elle-même régira le rapport qui sera entretenu entre les divers membres de la famille et qui servira de scénario originel à nos futures relations.
Cette réalité, déjà-là, définira pour grande partie la personne que nous serons appeler à « devoir être« .

La philosophie existentialiste nous propose une autre thèse qui dit en bref que l’être humain n’est jamais vraiment « quelque chose » de fini, mais qu’il se construit au fur et à mesure de ses actes. Cela veut dire que chaque acte que nous posons en conscience nous met au monde autrement que par habitude, automatisme ou autre réflexe. Se co-naître, c’est naître à soi, avec soi, pour soi.

Selon les neurosciences: Si nous répétons plusieurs fois une expérience, nous reconfigurons la structure neuronale du cerveau et ce, grâce à l’extraordinaire découverte faite par les neuroscientifiques qu’est la neuroplasticité, c’est-à-dire, cette capacité du cerveau à se reconfigurer en permanence.
A partir de cette découverte, nous pouvons envisager l’hypothèse de passer du statut d’être gouverné par notre cerveau, lui-même configuré par notre éducation, notre héritage familiale, ainsi que la société, à la perspective de gouverner notre cerveau afin de participer à sa nouvelle configuration voulue par nous, en lien avec nos valeurs et en toute conscience de soi. Et donc, commencer à construire notre monde décidé et voulu par nous !

Selon cette théorie, nous pouvons changer d’état interne à savoir: Passer d’un état de mal-être à un état de mieux -être et ce, en apprenant à écouter nos états internes, ce qu’ils essaient de nous dire de notre histoire et, en s’inscrivant dans cet apprentissage d’écoute, commencer à réduire l’incidence de notre histoire passée sur notre présent. Avant cette théorie, la science considérait les traumatismes comme étant la conséquence des événements qui nous étaient arrivés. Grace aux apports de la théorie polyvagale, nous savons maintenant que le traumatisme est une expérience et non un événement. Le traumatisme, n’est que la résultante de l’impossibilité qui a été la nôtre, à cette époque d’élaborer une réponse appropriée à l’événement vécu plutôt que l’événement lui-même.

Les principaux représentants de cette approche sont les psychologues Abraham Maslow, Carl Rogers, Rollo May, Fritz Perls, Viktor Frankl, Wilhem Reich, Irvin Yalom et James Bugental. Cette approche psychologique repose sur le postulat que chaque être humain est unique et a les capacités d’être autonome, de se développer et de réaliser
son potentiel. Elle postule aussi que la personne est capable de comprendre ses difficultés, trouver ses solutions et y apporter elle-même les changements appropriés. C’est l’expérience et les perceptions de la personne elle-même qui vont primer. Selon cette approche, une personne motivée en présence d’un thérapeute congruent, respectueux et empathique, vivra une expérience nouvelle et correctrice du fait qu’elle ne se sentira ni jugée, ni évaluée.
Elle pourra expérimenter qui elle désire devenir et ainsi, poursuivre le développement de son potentiel jusqu’alors interrompu.